Dans sa note de février 2018 « Surviving ISO 9001 in the Age of Scandal », le consultant américain Oxbridge souligne l’apport toujours plus limité de la certification ISO 9001, en dehors du référencement fournisseur. Il conseille ainsi aux entreprises d’améliorer avant tout leur système qualité selon leurs propres attentes et pour leur seul bénéfice en donnant la priorité sur trois points :
– la surveillance du bon fonctionnement des processus : font-ils ce qu’on attend d’eux,
– les actions correctives,
– les actions préventives qu’il juge nécessaire de bien distinguer pour assurer la fiabilité et la sureté des produits.
L’approche risques, qu’on utilise parfois de façon désordonnée, est quant à elle qualifiée de « garbage risk-based thinking mumbo-jumbo ».